Ecuriegirouard

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    Méthodes de croissement.

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    Méthodes de croissement. Empty Méthodes de croissement.

    Message  Ndtch Sam 10 Aoû - 8:04

    Pour l’élevage, le seule règle est qu’il n’y pas de règle.

    - Associer des origines qui se mélangent biens
    - Associer des qualités (défauts), caractère, physique
    - Méthode linéaire
    - SGP (Surface Génétique Parentale)
    - Consanguinité
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    Méthodes de croissement. Empty Surface Génétique Parentale

    Message  Ndtch Mer 21 Aoû - 11:30

    SGP (Surface Génétique Parentale)

    Permet de calculer le pourcentage de sang en commun entre d'une part l'étalon et le père de mère et ensuite entre l'étalon et la mère. Pour cela on met en face le linebreeding de l'étalon en face du linebreeding du père de mère et l'on regarde tous les courants de sang en commun sur 9 générations. et ensuite idem avec la mère car un étalon peux ne pas être compatible avec un père de mère mais aller très bien avec le pedigree de la mère dans son ensemble.

    Il faut avoir une moyenne supérieur à 50 % pour dire qu'il sont compatible ensemble, si cela est inférieur, il vous faudra alors un fort taux d'hétérosis ( sang américain ) pour compenser, par contre le taux d'hétérosis n'est pas calculé sur trot pedigree
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    Méthodes de croissement. Empty Méthodes de croisement

    Message  Ndtch Mer 21 Aoû - 11:38

    Il y a l'outil Trot Pédigrée qu'il faut charger sur son ordinateur.
    - il permet de faire des simulation
    - il renseigne sur la consanguinité
    - il renseigne sur le méthode linéaire

    Engagements et résultat des qualifications:
    http://www.huilerie49.fr/qualifs/
    permets de voir les papiers qui fonctionnent.

    Simulation en ligne:
    http://labanquedusang.com/servlet/GetBBData?type=pedigree&breed=warm
    - pédigrée
    - consanguinité

    Example Domino de la Brise
    http://labanquedusang.com/servlet/GetBBData?breed=warm&sire=quai+bourbon&dam=symbiose
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    Méthodes de croissement. Empty Choix d'un yearling

    Message  Ndtch Mar 27 Aoû - 12:06

    Per Erikson
    1)Le produit doit être plus long que haut ( mesurer la hauteur du sol au garrot et la longueur prise de la pointe du poitrail à la pointe des fesses . Un bon cheval de course a au moins 2,5 cm de plus el longueur qu’en hauteur )
    2)Les jarrets : Il les faut sans défaut ,ni étroit ,ni trop gros , ni trop mince par rapport au reste du corps . Un trotteur vaut ce que valent ses jarrets . Un cheval faible de jarret est un cheval qui fera des fautes . Un bon jarret est en ligne droite ,si à cela s’ajoute une croupe puissante , il est sur d’avoir un bon cheval .Ne pas acheter un produit avec des muscles arrières étriqués ( qui n’a pas d’ampleur suffisante )
    3)Les grands chevaux : Un cheval grand et puissant est un grand consommateur d’ oxygène et sa masse musculaire à traîner est un gage de claquage précoces et de performances contradictoires . La bonne taille est de 1,55/1,56 m .
    4)La présentation du cheval à l’avent : Le cheval panard n’est pas au trot du moins , un cheval à éliminer tout de suite : ayant remarqué qu’un panard allait mieux qu’un cheval carré ou bien droit , il est d’avis qu’un cheval légèrement panard ne se touchera jamais à l’arrière
    5)L’impression d’ensemble : Le produit doit avoir un bel œil et une tête fine et intelligente . Le cheval élégant ( définition trèe subjective ) est souvent un bon cheval , l’élégance est souvent un signe d’un équilibre parfait .

    D’après Doug AckermanDoug Ackerman est considéré comme un spécialiste de l’achat de yearling . Il effectue toujours sa première sélection sur la base des pédigrées ( système linéaire et affinité ) , la plus grande attention étant portée sur la famille maternelle . C’est un acheteur de premier produits dans la mesure où la poulinière est elle-même fille d’une poulinière ayant bien produit. Il observe d’abord la physionomie d’ensemble accordant une grande importance à l’aspect symétrique du cheval au rapport proportionné entre le coup et le reste du corps , ainsi qu’entre la tête et le corps .Ce n’est qu’après qu’il s’intéresse aux détails : Jambes et Muscle Un cheval au canon et aux muscles logs avec un corps très puissant et lourd est éliminé d’office , comme futur candidats aux accidents musculaires .Il préfère les chevaux à poil court et fin , les chevaux moyens sans être petits aux chevaux de haute taille , il accorde une certaine importance à la date de naissance , un cheval de douze mois ayant plus de développement possible qu’un autre de quinze mois de la même taille .S’il veut avoir la taille finale d’un yearling il mesure la distance du coude au sol : le double de cette mesure est selon lui à peu près la hauteur finale adulte du cheval au garrot .Il n’accorde aucune importance à la couleur de la robe .Il observe ensuite de face , recherchant l’œil vif et intelligent , les oreilles bien tendues , et n’appréciant pas l’œil crayeux ou entouré de trop de blanc, ni chez les femelles une allure trop féminine . Il n’aime pas non plus les chevaux largement ouverts de devant , étant sûr qu’il s’agit là de chevaux qui ne manqueront pas de se toucher à l’arrière . Pointe de la poitrine , genou et boulet doivent être d’ aplomb en ligne droite . Le genou est selon lui le point critique en fonction des grandes vitesses auxquels on court actuellement . Il observe comment le canon sort du genou : tout droit , c’est bon . Il observe en même temps les deux genoux qui doivent être bien plats sur l’avant et de forme et de longueur similaires . Pas question de s’intéresser à un produit aux genoux de bœuf , même si certains entraineurs n’en font pas une grande affaire et affirment pouvoir compenser le problème en utilisant de grands angles de pied . Il est en faveur d’un canon allongé et plus plat que rond entre le genou et le boulet . Le paturon doit être en rapport avec la physionomie de l’animal mais de préférence plutôt long.Pour lui les pieds même travaillés précédemment à la vente par un bon maréchal – ferrant donnent de précieuses indications : les cercles d’accroissements doivent bien être parallèle au sol , les deux pieds doivent être de forme et de dimension identique .Pour le yearling panard , s’il est panard depuis le genou ,il n’est pas enthousiaste , si c’est à partir du boulet ,à condition que la jambe soit en ligne droite de l’épaule au boulet ,il estime que le cheval ne se touchera pas au genou mais peut être éventuellement un candidat à la boiterie donc acceptable avec précaution . Par contre le cheval cagneux est dans tous les cas éliminé . Il estime que la corne du pied de couleur blanche ne signifie rien de particulier .Il accorde une grande importance à l’observation du dessous des pieds : le beau pied est ovale en dessous et ses talons ne doivent pas être contractés ,la fourchette doit être normale c'est-à-dire plutôt large , libre et en bonne santé , la sole doit être bien lisse . La direction dans laquelle va le « V » de la fourchette est importante : s’il va vers l’intérieur il est sûr d’avoir à faire à un cheval qui ira aux coudes .Si le cheval est ferré , on peut avoir quelques indications : ferré lourd on vous cache un problème.La prochaine observation concerne le garrot : il doit être haut ; s’il est bas avec une épaule droite à la façon des moutons , le cheval manquera de vitesse.La partie médiane du dos a son importance : il la préfère plutôt longue .Un cheval court est pour lui , un cheval qui va se toucher sur l’arrière .On en arrive à l’arrière du cheval dans lequel se trouve selon lui toute la force propulsive du trotteur . L’angle de la jambe arrière est pour lui important : campé ou sous lui le cheval sera handicapé . Les muscles puissants de l’arrière représentent à son avis le coffre fort du propriétaire . Cela vaut bien la peine de s’y attarder .
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    Méthodes de croissement. Empty Réussir un croisement

    Message  Ndtch Mar 27 Aoû - 12:08

    Pour réussir un croisement, il faut accumuler des données pour mettre toutes ses chances de son côté :Le caractère phénotype de la poulinière doit être en adéquation avec l’étalon, pour cela il est impératif de bien connaître sa poulinière : le modèle, le caractère et l’allure sont les premiers critères à prendre en compte. Le second critère est les origines, afin de faire coïncider les meilleurs courants de sang de sa poulinière à l’étalon. Le modèle : Il faut tenir compte de la taille de sa poulinière, si elle est puissante ou bien d’un gabarit plutôt fluette, ses aplombs, ses genoux, ses jarrets sont il correcte ? A-t-elle de bon pied …-Le caractère : la personnalité de la jument est importante, elle nous donne de précieux éléments afin d’éviter des erreurs lors du choix de l’étalon. La poulinière est elle calme ou nerveuse, est elle dominée ou dominante, est elle facile ou difficile, est elle peureuse ou docile avec l’homme, comment ce comporte t’elle avec son poulain ….-Les allures : Si la jument a couru, trottait elle naturellement, était elle façonnée, avait elle un gros braquet, de la vitesse, de la tenue, était elle précoce, quel parcours et quel corde préférait elle …Les croisements d’allure sont privilégiés par les entraîneursEn conclusion, une bonne connaissance de sa poulinière permettra d’augmenter ses chances de réussite et de diminuer sa marge d’erreur.(voir le facteur X) Les croisements dominants :
    1)l’omniprésence de sabi pas. Cette réussit n’a rien d’étonnant, dans la mesure où jeune et vieux sangs américains se sont toujours bien accordés.
    2)Carioca II – Star’s pride pointe à la deuxième place. Le tandem fonctionne tant en présence qu’en absence de florestan et le plus souvent avec l’appui de sabi pas, voir de fakir du vivier.
    3)Le croisement Star’s pride –Speedy crown est un classique. Il s’agit d’une formule parmi les plus éprouvées et les plus recommandables.
    4)Celles consistant à rapprocher Star’s pride de Sharif di lesolo est moins universelle mais marque des points un peu plus chaque jour
    5)Le croisement Star’s pride sur Star’s pride est toujours performant, complétant le top 5.Les sangs traditionnels se nourrissent également de certains inbreedings phares, tels ceux sur Kerjacques et sur Carioca II. De même, les affinités de Kerjacques avec le jeune sang standard bred sont ça et là confirmées.Fandango est incontournable dans un pedigree, car il s’allie favorablement avec tous les types d’étalons. Il est même conseillé de doubler, voir de tripler sa présence. Quioco constitue un remarquable appoint avec le sang américain, spécialement avec Speedy crown et plus encore avec Buvetier d’Aunou
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    Méthodes de croissement. Empty Systeme d'accouplement

    Message  Ndtch Mar 27 Aoû - 12:10

    Les unions génétiques aux USA sont donc définies sous les termes d’inbreding lorsqu’il y a consanguinité au sens large et outbreding lorsqu’il y a un croisement entre lignées, enbranchement ou même races différentes. Le closebreding est la variété d’inbreding qui porte sur les parents proches de première génération (F1) et deuxième génération (F2) soit 1X2, 2X1, 2X2. L’inbreding en soit tourne autour de la troisième génération (F3) soit 3X3, mais par assimilation 2X3 et 3X2. Le linebreding est une variété de consanguinité qui se veut conservatrice, et qui cherche à éviter les effets nocifs de la consanguinité, elle est axée plutôt sur la quatrième génération soit 4X4, mais aussi 3X4, 4X3 ainsi que par extension limite 2X4 ,4X2, consanguinités les plus en faveur actuellement aux états unis. Pour faire un bilan des différents systèmes d’accouplement, il convient d’avoir en tête les quelques certitudes suivantes que devrait considérer un éleveur avant de décider une saillie.
    1)Si l’on veut conserver et transmettre ultérieurement les caractères d’un performer supérieur il n’existe pas d’autre voie que la consanguinité.
    2)La consanguinité par suite de la dominance, tend, par la dépression à causer un affaiblissement général des performances (mais les effets de la dépression de la consanguinité peuvent être minimisés en s’y prenant de loin, ce qui est le projet de ce que l’on appelle le linebreding.)
    3)Les caractères à héritabilité faible que l’éleveur recherche sont justement sensibles tant à la consanguinité qu’au croisement.
    4)Dépression de consanguinité et hétérosis de croisement sont directement liées et proportionnels au degré de dominance.
    5)Ce que la consanguinité fait perdre peut être restauré par le croisement, particulièrement par le croisement de retour
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    Méthodes de croissement. Empty Le système linéaire

    Message  Ndtch Mar 27 Aoû - 12:14

    Le système linéaire est une procédure basée sur l’évolution dans un croisement des porteurs du chromosome Y fondateurs, ceux appartenant à la mère de l’étalon et ceux du père de la poulinière Cette procédure définit un système dit primaire, celui de la mère de l’étalon et celui du père de la poulinière (ayant deux fois plus de chance de transmettre les chromosomes X ils sont donc doublement représentés « les 4 lignées les plus proches donneuses du chromosomes Y »Le système secondaire : est définie par la zone du père de l’étalon et celle de la deuxième mère qui sont transmetteuses en probalité à un niveau moindre Ce sont donc les zones du père de l’étalon, et des pères de la mère et de la deuxième mère de la poulinière, soit les deux lignées les plus proches donneuses de chromosome Y. C’est une logique génétique de probalité.
    1 « Le line up chart » Identification des lignées paternelles porteuses des chromosomes Y fondateurs pour déterminer la valeur génétique du croisement aboutissant à un produit potentiel.Le bilan de ce travail quand on cherche à définir le potentiel du produit (mâle ou femelle).Lignée primaire paternel (primary match): 1/2/3/4 (secondary match): 5/6Lignée primaire maternel (primary match): A/B/C/D (secondary match): E/FLa mise en parallèle de ces lignées (matchs) paternels et maternels permet de trouver la valeur du potentiel génétique : 1 2 3 4 5 6A B C D E FL’identité d’un étalon ou d’une poulinière sera le même toute sa vie (Voir tableau fin de page)  

    2 « Le full match »Le full match est le rapport réciproque entre étalon et poulinière qui aboutit au mieux à une image miroir par couples identiques de chromosomes Y de la même lignée mais l’un venant de l’étalon, l’autre de la poulinière.Le « full match » minimal est atteint quand on dispose en haut et en bas de quatre duplications quelques soit l’ordre .Ce choix de quatre éléments n’est pas arbitraire : il est donné par les statistiques et correspond au fait que tout produit a en F2 quatre lignées envisageables, F2 étant critique car il est à la limite de la consanguinité tolérable.EXEMPLE :Etalon : L T SP D lignée primaire VP X lignée secondaire Poulinière : D SP L T lignée primaire X VP lignée secondaireLes schémas primaires et secondaires sont identiques en haut et en bas puisqu’on a les duplications suivantes en miroir : LL TT SP SP DD puis VP VP et XX.On assimile à un full match total la situation ou l’on dispose de cinq couples identitaires plus un couple en wild card. Ce sont ceux que l’on retrouve chez les meilleurs performers français. Il n’y a pas forcément de rapport direct entre « match » et consanguinité.En fait le « full match » total, qu’il soit direct ou indirect, est une situation qui n’est en réalité pas facile à obtenir et n’est d’ailleurs pas nécessaire. Un « full match » primaire direct ou même avec un « wild card », doit déjà être un élément de grande satisfaction pour l’éleveur : faire un classique est rare.« full match direct primaire »est en fait l’objectif fondamental réaliste de base en élevage.« Le full match total indirect »EXEMPLE : Etalon : WP X D L (lignées primaires) D WP (lignées secondaires)Poulinière : WP D WP D (lignées secondaires L X (lignées secondaires)Pour avoir la totalité des lignées primaires en duplication, il faut englober les lignées secondaires par transfert, ainsi on obtient le « full match » de WP/WP D/D en primaire mais aussi D/D WP/WP X/X et L/L en prenant en charge le secondaire, ce qui donne la totalité des lignées en reflet.Bien que formé exclusivement de duplications, il est considéré comme un peu moins fort que le full match direct, puisque l’essentiel est ce qui se passe dans les lignées primaires.

    3 « L’outmatch » L’ « outmatch » est l’autre choix possible de l’éleveur. Au lieu de rechercher avec l’étalon et la poulinière une image miroir, c'est-à-dire le renforcement interne de qualités bien connues , il va chercher à additionner des qualités différentes à partir de lignées dont les qualités complémentaires lui seraient bien connues , autrement dit par un assemblage de lignées différentes du moins en s’assurant que l’identité d’éléments entre schéma de l’étalon et schéma de la poulinière soit au plus de trois éléments sur les six disponibles mais d’un pour le moins. L’outmatch se cherche en regardant d’un coup la totalité des lignées primaires et secondaires, alors que pour le fullmatch on analyse d’abord les lignées primaires.Il n’y a pas non plus de rapport génétique direct : un « outmatch » n’est pas forcément un croisement en « outcross », par contre, un croisement à hétérosis est forcément un « outmatch ». Il est d’ailleurs beaucoup d »outmatch » fortement consanguins. La pratique habituelle de l « outmatch » volontaire utilise la combinaison minimale d’un bloc de deux lignées identiques pour constituer un côté de l’ « outmatch ». Un « outmatch » ne mettant en jeu qu’un bloc est dit simple. A deux blocs il est double, à trois triples et à quatre quadruples.EXEMPLE :L’ « outmatch » double de Village JiffyLignées primaires lignées secondairesD A D A A AP D P P A AUn seul élément est commun en lignée primaire : la duplication D. En lignée secondaire on a une paire de AA en commun (haut et bas). On n’a pas de full match, soit quatre éléments identiques, même en allant en lignée secondaire. Il y a en fait un « outmatch » double de AA paternels face à PPP maternels avec une lignée inactive, le D isolé de l’étalon qui est une lignée inactive isolée, configuration courante en « outmatch ».Un caractère fondamental est à noter : pour que l’ « outmatch » fonctionne, la combinaison minimale est qu’un des éléments de l’outmatch ,soit en haut ou en bas composé d’un bloc de deux éléments. Autrement dit, si l’on a en haut ou en bas la paire ZZ on peut avoir en balance BC, ou pour ZZZ on peut admettre en balance BCD .Il s’agit là de position minimales : un bloc ZZZ face à un autre bloc, disons DDD est évidement plus souhaitable encore.L’ « outmatch » de schéma ZZ face à un bloc cohérent d’une paire comme BB est dit « outmatch » double ; face à un bloc composite d’éléments distincts comme BC : il est dit « outmatch » simple. La combinaison de deux blocs en haut ou en bas comme ZZ YY face à un bloc cohérent comme CCCC est dit « outmatch » triple ; si l’on a le schéma ZZ YY face à deux blocs dont l’un des deux doit être cohérent soit CC DD ou CC DE ( ce dernier bloc donc étant composite) l’ « outmatch » est dit quadruple . On notera qu’un élément isolé en haut ou en bas est systématiquement assimilé à une wild card horizontale, donc positive mais peut être confirmé par wild card d’affinité, ce qui apporte un plus.A B Z Z Y YA B F F F OElément isolé le OSi l’on veut faire une classification, il existe sur le plan théorique deux types d’ « outmatch » :L’ « outmatch » combiné : dans lequel à un certain nombre de duplications s’ajoutent des blocs qui viennent en complémentarité : il s’agit de tous les exemples sités qui peuvent être simples, doubles ….L’ « outmatch » total : Il s’agit de la totalité des lignées en complémentarité, c'est-à-dire accompagné d’absolument aucune paire identitaire, ce qui donne certainement une force exceptionnelle à cette union mais certainement aussi des combinaisons plus difficile en reproduction. EXEMPLE : l’ « outmatch » quasi parfait est celui de blue dream

    4 L’ « outcross »L’ « outcross » est le mélange de races / types / familles éloignées qui aboutit au phénomène d’hétérosis (c’est la différence de forme, de nature ….de provenance entre des individus, des espèces, des éléments) Définition : c’est le croisement d’un étalon et d’une poulinière qui sont le produits d'un croisement en ligne, mais de deux lignées différentes, sans ancêtre commun dans les 4 ou 5 premières générations.L’ « outcross » peut se produire tant en « fullmatch » qu’en « outmatch » ; les « outcross » de retour sont particulièrement intéressants. Conclusion sur l’ « outmatch » et le « fullmatch »Il faut reconnaitre que dans la pratique courante on préfère aux USA le « fullmatch » qui évite de rechercher en plus la certitude de complémentarité qui n’est pas toujours d’une certitude lumineuse et qui nous pensons offre la sécurité psychologique et aisée de l’identité.Pourtant il faut bien reconnaitre que certains des plus grand champion sont en « outmatch ».En fait, bien conduit l’un comme l’autre donne de bon résultat.6 Lignées intrinsèques et lignées extrinsèquesLa distinction entre lignées intrinsèques et lignées extrinsèques est une notion à assimuler propre au système linéaire et imposée par le mécanisme du procédé .Cela signifie que le mariage de lignées que le cheval étudié possède en soi, soit lorsqu’il est en position de « sire » ( étalon présenté à une poulinière) , sera différent lorsqu’il sera regardé quand il sera en position de père de mère dans le pédigrée d’un animal donné .Autrement dit puisque les caractères se transmettent différemment en position de sire et en position de père de mère , on obtiendra donc un schéma d’effet génétique différent selon que l’étalon soit en position de « sire » (père d’un produit) , ou de « broodmare sire » , père de poulinière, pour la simple raison évidente que dans le cas d’un étalon en position de sire , on ne prend en compte pour les lignées primaires que les lignées de sa mère et dans le cas d’un étalon en position de père de mère on ne prend en considération que quatre lignées paternelles( celle de son père , du père de la mère de son père puis celle du père de sa mère et enfin celle du père de sa deuxième mère .On notera en passant que les lignées secondaires d’un étalon en position de sire se relèvent tout simplement en prenant les deux premières lignes de la position de « broodmare sire » et vice versa .Cette distinction entre position d’étalon et celle de père de mère est fondamentale . Elle se voit du premier coup en consultant le schéma de line up . nomschéma intrinsèque (sire )scéma extrinsèque ( père de mère )speedy crowPw Ps X X Ps VPs V X PsworkaholicX Ps Pv Ps Ps XPs X Ps Pspassionant B Ps Bi Xt Pv BhPv Bh Xt Pssancho pançaBi Q L sP hB PhB P sP Q 5 « wild card »Le « wild card » est une sorte de joker que l’on peut utiliser dans certaines circonstances pour aboutir à un bloc d’ « outmatch » ou à des paires pour un « fullmatch », quand il manque en duplication un ou deux éléments dans les lignées primaires de la poulinière ou du sire pour avoir l’image miroir de quatre éléments dupliqués haut /bas. Il y a trois sortes de « wild card » -Par transfert : L’élément manquant pour faire la paire est dans les lignées secondaires ;-Par substitution : Une paire (ou deux au plus) n’est pas fonctionnelle en primaire mais il apparait une autre (ou deux) en secondaire, elle se substitue à la paire manquante.-Par affinité : L’affinité se vérifie en regardant le père de la mère du porteur d’Y qui fait problème, on peut reculer d’une génération lorsqu’il y a hybridation. Une « wild card » par transfert a la valeur d’une paire, par substitution peut être inférieure et par affinité supérieur à une paire (d’où l’importance des affinités).On rappelle que généralement toute paire isolée dans laquelle un élément est américain fonctionne en « wildcard », plus particulièrement en France quand l’élément américain est en rapport à une lignée en voie de disparition (comme celle de Télémaque V).A titre indicatif : les identités qui fonctionne presque systématiquement en « wild card » : L/Bh comme l’affinité typiquement américaine P /x ou tout comme isolé comprenant une ligné américaine et une ligné française soit Pv , Ps , ou X avec Q , L ou B .2 Le travail de recherche et de croisementPremière phase : L’analyse de la valeur génétique de la poulinièreUne poulinière peut avoir un pédigrée apparemment séduisant avec l’incapacité de transmettre toute la force de ce pédigrée. Une autre poulinière peut n’avoir rien fait en course ou même avoir un pédigrée modeste tout en ayant une capacité supérieure de transmission génétique.La vérification se fait en recherchant les « matchings » (complémentarité) : Pas de « full match » ou pas de « out match » chez la poulinière ne peuvent que faire douter des capacités de transmission génétique .Une fois ces éléments analysés, on relève éventuellement les points forts.-Notion de point fort : il s’agit des lignages en état d’identité ou de complémentarité, que l’on repère dans la formule de la poulinière. Lorsque ceux-ci sont retrouvés dans l’union poulinière – étalon pour donner un « full match » ou un « out match », on a à faire à un point fort qui permet de prévoir le niveau de puissance du croisement, élément essentiel lorsqu’on a à choisir entre plusieurs étalon.Deuxième phase : Les recherches des unions valides Etude des croisements possibles poulinières/étalon.L’observateur ne doit porter d’abord que sur les lignées primaires dont on doit épuiser les possibilités de complémentarité. On recherche donc les « matchings » éventuels qui permettront de sélectionner le meilleur étalon. On saura que de tout le « full matching » le plus puissant est le « full match » direct sur les lignées primaires ; évidemment si l’on se trouve à un « full match » total incluant un « full match » direct, on n’hésitera pas à sauter sur l’occasion, même si les affinités ne sont pas supèrieures.En « out match » on n’oubliera pas qu’en dehors des identités linéaires, tout le reste doit être en « out match ». La ou les lignées inactives ne doit ou doivent se situer que d’un côté du croisement soit chez l’étalon ou la poulinière.On relève éventuellement en finale les points forts, c’est-à-dire les identités qui se répètent ou les blocs qui se complètent dans l’union poulinière/étalon ; on note le nombre de point forts apparus. S’il reste encore un éventail de choix possibles, on ne manquera pas d’utiliser « linebreding », « inbreding », « balanced breding » comme critère SELECTIF tout comme les critères de validité statistique comme le BLUP, qui est un excellent appui STATISTIQUE et n’à d’ailleurs aucune prétention de validité génétique.On n’oubliera évidemment surtout pas les critères de modèle : en principe éviter l’union petit/petit, grand/grande ou carré/carré (un étalon carré à une hauteur au garrot et une longueur égale). Troisième phase : Le contrôle des affinités Il s’agit de vérifier les affinités positives (« nicks ») et les affinités négatives (« cancellations »). La recherche des affinités est essentielle lorsqu’on se trouve en présence d’une « wild card » EXEMPLE :Ténor de Baune : schéma de croisement Q L Bh P P Bh L Q T B Q QC’est le cas limite d’un étalon dont la combinaison peut fonctionner en full match direct et en outmatchLecture du full match direct: Q L Bh P Q L B TLecture de l’outmatch : A première vue on obtient un outmatch double défaillant : trios identifies en primaire : QQ LL BHB puis deux blocs d’outmatch PP face à QQ, qui révèle la force de ce croisement : Quo vadis appuyé sur la lignée américaine de Peter the Great . C’est la définition même de l’appui vitesse /tenue. Là où le bât blesse est qu’une paire reste apparente inactive Bh de Quinio et T de Mistral , ce qui ne peut constituer un outmatch standart, puique en dehors des blocs d’outmatch tout (à l’exception d’élément isolés) doit être en paires identitaires. On se penche donc sur Quinio et Mistral pour identifier les nicks (affinité éventuel) : mère de Quinio par Trinqueur donc Fuschia ; Mistral mère par Quo Vadis pas de paire Bh T , mais T et Q sont donc interchangeables faisant une wild card qui consolide le bloc d’outmatch QQ . On obtient l’outmatch double solide des blocs Q et P Ce qui nous donne : Q L B P P B (élément isolé) Q L B Q Q Q ( T remplacé par Q en affinité) CONCLUSION : Le système linéaire est ,nous le rappelons une méthode vraiment efficace puisque la quasi-totalité des 100 champions étalons de tête américains récents sont en full match direct ou en out match comme on peut le voir déjà dans la liste des étalons dominants analysés plus haut , 88% des 1000 meilleurs performers étant aussi dans ce cas ,alors que l’essentiel des 12% restant sont encore en full match, mais de façon compensatoire ( avec wild card ) comme d’ailleurs beaucoup d’excellents performers français croisés par des éleveurs qui ne semblent pas connaître de toute évidence le système linéaire vu les résultats de paris génétiques quasiment de type funambulique que l’on peut constater.Le travail auquel nous nous sommes livrés sur les performers cités dans les numéros correspondant aux années 1996 de trot information avec analyse biographique détaillée nous a révélé que quasiment TOUT les chevaux étudiés par la revue durant ces trois dernières années correspondent à des full match avérés , certains donc étant assez souvent maladroits, les out match étant d’ailleurs plus nombreux qu’aux états unis ce qui explique aisément avec la vogue récente des croisements franco-américain qui conduisent plus facilement à utiliser un out match plutôt qu’un full match .Autre avantage à noter : Si le produit génétiquement bien conduit ne donne pas, pour x raison de bon résultat en course, on a au moins la certitude s’agissant évidemment de femelles de disposer de futurs reproducteurs valables.
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    Méthodes de croissement. Empty Le facteur X

    Message  Ndtch Mar 27 Aoû - 12:15

    Les progrès réalisés sur la génétique, notamment l’analyse ADN, a permis d’entrouvrir de nouvelles perspectives sur les développement de nouvelles espèces de plantes, d’animaux, ou autres… Une étude réalisée par l’Université du Kentucky a permis de révéler l’existence de gènes récessifs ou dominants que l’on peut retrouver sur plusieurs générations (comme la taille du cœur par exemple). Pour que ces gènes puissent exprimer leurs potentiels ils doivent être apporter par l’étalon et la poulinière. Cette théorie est plus connue sous le nom de « Facteur X ». La théorie du « Facteur X » s’appuie sur le fait que la conception d’un poulain sera la combinaison de chromosomes XY pour l’étalon et XX pour la poulinière. Le poulain (mâle) héritera du chromosome Y de son père et du chromosome X de sa mère. La pouliche (femelle) héritera de deux chromosomes X hérités de son père ou sa mère ou les deux à la fois. Chaque gène présent sur un chromosome que l’on retrouve sur l’autre chromosome, formera une paire qui sera à la base de la notion de caractères dits dominants ou récessifs. Par exemple chez l’Homme, le caractère « yeux bleus » est récessif par rapport aux « yeux marrons » mais dominant par rapport aux yeux verts. Ceci est valable pour chacun des éléments de notre corps. Nous pouvons donc imaginer qu’en connaissant les qualités et défauts de sa poulinière, et en cherchant un étalon qui possède ces mêmes qualités sans les défauts avec les mêmes courants de sang, nous améliorerons les chances de succès
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    Méthodes de croissement. Empty Equibiogenes

    Message  Ndtch Lun 7 Avr - 19:21

    http://equibiogenes.com/_ext/pdf/PUBLI_REPORTAGE_EQUIBIOGENES.pdf

    Avoir les bons gènes !

    La génétique est la base de tous les succès.
    Equibiogènes vous présente le 1er test génomique de performance disponible pour les chevaux de courses au trot.

    Il s’agit d’une avancée scientifique décisive pour tous les professionnels du Trot.

    SynchroGait® est un test ADN qui vous permet de déterminer l’aptitude de vos chevaux à bien synchroniser les allures du trot.

    Les chevaux porteurs de la mutation génétique ont la faculté de mieux coordonner leurs allures latérales. Cette même mutation permet de maintenir un trot à grande vitesse et inhibe le passage au galop.

    Nos études ont démontré une plus grande précocité et des gains plus élevés chez les chevaux porteurs du gènes.

    Avec SynchroGait® disposez de la plus importante des informations : l’aptitude à trotter



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    Méthodes de croissement. Empty Génomique équine.

    Message  Ndtch Mer 26 Nov - 18:21

    http://dga.jouy.inra.fr/horse.genomics/

    Le programme international de génomique équine (PIGE)
    L’étude du Génome du Cheval a nécessité un effort de coopération internationale, impliquant plus de 100 scientifiques dans 20 pays différents. Les résultats de cet effort sont la définition du génome et l’établissement de la séquence d’ADN du Cheval domestique. Avec ces connaissances, les scientifiques peuvent espérer comprendre les aspects génétiques de la physiologie et de la pathogénie des maladies équines. Les outils génétiques sont les outils du chercheur pour trouver de nouvelles thérapies et/ou préventions pour des maladies ayant une composante génétique dans leur cause.
    Certains professionnels du Cheval s’inquiètent qu’une fois son génome décrypté, tout le mystère, la spécificité et la magie disparaîtront de sa production et de son élevage. Les personnages hauts en couleur actuellement parfois rencontrés sur les hippodromes seront remplacés par des scientifiques beaucoup plus ternes, munis de données informatiques et de tubes à essais. Mais ne nous affolons pas ! L’étude du génome du Cheval se rapproche plus de la météorologie que de l’invention des voitures de course. La météorologie nous permet de profiter d’une journée ensoleillée en Floride tout en sachant que dans deux jours un ouragan arrivera, sans que nous ne puissions rien y faire. Cette connaissance autorise les choix : quand l’ouragan s’approche, nous pouvons évacuer la ville ou renforcer les fondations de nos demeures. L’utilisation à bon escient des outils de la génomique aidera les éleveurs de chevaux, les vétérinaires et les propriétaires de chevaux à améliorer ce qu’ils font déjà… anticiper des problèmes, prédire les conséquences et continuer à profiter de la relation unique entre les chevaux et l’Homme.


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    Méthodes de croissement. Empty ADN

    Message  Ndtch Mer 14 Jan - 15:42

    http://www.capiletgenetics.com/fr/dna

    1. L'ADN
    Quelques notions
    Le génome du cheval est composé de 32 paires de chromosomes. Un chromosome est constitué de molécules d'ADN et de protéines. L'ADN est une succession de molécules d'acide aminé appelées les "bases azotées". Elles sont communement appelées A,C,G et T. Cet ADN est structuré comme une echelle de forme hélicoidale dont les deux montants sont reliés. Ce relais est assuré par les bases azotées, formant ainsi les barreaux. Les bases sont associées par paire, la lecture d'une des bases détermine automatiquement l'autre.
    La succession de ces bases forme ainsi plusieurs sous-ensembles dénomé les gènes. Ils sont porteurs de l'information génétique. Les positions occupées par ces bases sur les codons, (groupe de 3 bases) ainsi que l'odre des codons, détermine le code génétique, ainsi que l'information qui définit le gène.

    Le gène détermine la synthèse des protéines. Les protéines sont le matériau de construction, d'entretien des cellules et des tissus de l'organisme. Les différents exemples de protéine incluent les hormones, les protéines musculaires, les enzymes qui décomposent les aliments et extraient l'énergie, l'hémoglobine qui transporte l'oxygene etc..... Un total de 21 acides aminés différents sont nécessaires pour construire une protéine. Ces acides aminés sont assemblés comme des perles sur un collier et ensuite vrillés en une structure 3D pour former la protéine. Une proteine peut contenir plusieurs milliers d'acides aminés. Les gènes sont donc le plan qui dicte l'ordre des acides aminés. Comme il existe plus d'acides aminés (21) que de bases (4), la lecture des bases se fait par 3 acides aminés qui se suivent, c'est le codon, ex: CAC. Le codon final est toujours TAG,TAA ou TGA, ces triplés donnent le stop à l'hélice et détermine que la protéine est complète.

    Le génome du cheval comporte environs 20 000 gènes et environs 2% de ces gènes codent les protéines. Le génome est constitué d'environs 2.7 milliards de bases réparties en 32 paires de chromosomes. Le cheval possède 64 chromosomes (31 paires plus deux chromosomes sexuels XX ou XY). On les dénome paires, car comme pour les humains, les chevaux ont toujours deux chromosomes pratiquement identiques, l'un hérité du père et l'autre de la mère. Ils codent les mêmes gènes et sont identiques à 99.9%. Les quelques différences existantes démontrent tout l'intêret du génotypage des individus.

    2.Genotype du cheval
    Tous les chevaux possèdent deux variants de chaque gènes. Le test SynchroGait démontre une mutation ponctuelle, ou C a été remplacé par A. Cela signifie qu'il existe 3 possibilités de gènes variants pour un cheval: CC, CA ou AA. c'est le génotype. Les chevaux qui possèdent deux allèles identiques (AA ou CC) sont des individus homozygotes et ceux possédant deux allèles différentes (C, A) sont hétérozygotes.

    3.Hérédité et transmission
    Le tableau suivant montre comment se transmet les gènes avec des parents ayant les différents types de génotypes.

    AA x AA = 100% des poulains seront AA

    CA x AA = 50% seront AA et 50% seront CA
    
CA x CA = 25% seront AA, 50% seront CA, 25% seront CC

    CA x CC = 50% seront CC et 50% seront CA
    
AA x CC = 100% seront CA

    CC x CC = 100% seront CC


    http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_desoxyribonucleique



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